Tramway du Mont Blanc

Publié le par Clément

Un petit article plus léger que ceux de Steph mais dont il manque la fin pour le moment parce que je suis un faignant...

Une des fameuses devises à deux sous permet de déclarer « mieux vaut tard que jamais ». Mais rassuré vous, je ne vais pas exhumer les fins du voyage en Angleterre ou du Raid INPG que j’avais pourtant noté comme à suivre mais juste mettre à jour un week-end d’il y a guère plus de trois semaines.

Alors voilà.

Après un départ matinal (pour un samedi matin, s’entend), la route nous conduisit en direction de Lausanne puis de Martigny en passant notamment par la fameuse côte de Lavaux qui surplombe magnifiquement le Lac Léman – embrumé ce matin là – et par le petit village de Saint-Maurice dont nous ne voyons rien puisque nous passons par un tunnel… Mais nous reviendrons à Saint-Maurice un autre jour. Passé Martigny, nous nous sommes élevé doucement sur les pentes qui menaient au col de la Forclaz puis au col de Trient. Le temps était magnifique et la lumière donnait aux sommets une splendide fraicheur. Puis c’est le basculement de l’autre côté du col pour nous retrouver quelques mètres plus loin, au cul d’un camping car puant. Plutôt que de supporter les sombres odeurs de l’engin, un petit arrêt pipi (pour Horis et pour moi) s’organise… Enfin, nous reprenons la route sans trop d’encombre jusqu’à Sallanches, sous l’imposante et blanche stature du massif du Mont Blanc. L’heure était encore suffisamment matinale pour offrir une vue bien dégagée. Une fois à Sallanches, ce fut de bonnes discussions, retrouvailles et présentations de photos entre parents et amis avant de passer à table. Le reste du jour fut consacré à une petite excursion au village de Cordon. Comme c’était la journée du patrimoine une gentille dame proposait une petite visite guidée de l’église qui s’avéra être longue… mais très longue. Et comme nous ne pouvions guère suivre avec Horis, nous avons juste fait une visite éclair. Hormis la lourdeur baroque du chœur, il était tout de même impressionnant de voir la richesse du travail sur les fresques du plafond. Mais pour nous ce fut ensuite une longue attente pendant laquelle nous prîmes des splendides photos de trognes grimaçantes que vous n’aurez la malchance de voir que si… je ne sais pas encore… il faut que l’on réfléchisse aux conditions… Enfin, le soir, ce fut le repas et nous avons rejoint l’hôtel à Chamonix qui, le lendemain, nous fera payer 15€ pour « le petit animal »…

Le dimanche matin donc, le rendez-vous était à la gare du Fayet. Nous sommes arrivés à l’heure puis tous à la suite, nous achetâmes nos billets pour le Tramway du Mont Blanc (TMB). Petit à petit le quai se peupla et au fur et à mesure que l’heure avançait une migration vers le bord du quai s’opérait. L’habituel syndrome du « je serais le premier monté » se faisait bien sentir. Pour finir, tout le monde à eu sa place assise dans le petit train à crémaillère dont la construction de la voix date quand même du début du 20ième siècle. Bref une fois que tout le petit monde a eu sa place sur les rudimentaires bancs de bois, le petit convois se mit en branle au travers des rues du Fayet en direction de Saint-Gervais. C'était à Saint-Gervais qu'avait lieu le premier arrêt de la montée...

A suivre... si j'y arrive :p

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
S
j'ai ete deux fois en montagne mais j'etais plus jeune, pas beaucoup de souvenirssauf qu'il fait froid et que j'aime pas le froidbon maintenant je veux voir la photo^^
Répondre
S
ok... la première photo viendra avec la suite.Maintenant, faut que Clem l'ecrive :p
C
les conditions ?moi je propose : un commentaire = une photo de nos tronches grimaçantes...Avis aux curieux !
Répondre